« Cette rencontre internationale comble le manque causé par le recul du multilatéralisme dans les relations économiques et commerciales avec le blocage de l’organisation mondiale du commerce (OMC) depuis la conférence ministérielle de Mai 1968 célébrant le cinquantenaire de l’Accord général sur le commerce et les droits de douane » explique l’enseignant El Hadji Alioune Diouf.
Analysant, il déclare « qu’on peut s’attendre de cette conférence, une écoute plus attentive afin de surmonter les difficultés à mettre fin à la marginalisation de l’Afrique et favoriser une meilleure insertion dans la mondialisation et un développement accéléré de nos pays ». A l’en croire, « le Sénégal se veut un pays ouvert au reste du monde et conscient de ce qu’il doit apporter à ses populations laborieuses surtout et aussi conscient de la place importante qu’il doit occuper dans le développement du continent africain ». Pour l’enseignant Alioune Diouf, « l’Afrique signe de plus en plus des accords de partenariat avec des pays occidentaux ».
Maimouna Ba