Rencontre sous haute tension ce lundi 29 novembre en Autriche. Avec la reprise des négociations entre l’Iran et les grandes puissances à Vienne, siège de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’objectif est d’essayer de ressusciter l’accord de 2015, qui a largement déraillé.
Les États-Unis de Trump avaient quitté l’accord si difficilement trouvé à Vienne sous Obama, et rétabli des sanctions, qui étouffent l’économie iranienne. Puis l’Iran avait progressivement relancé des activités au-delà des limites. Il faut tout revoir.
C’est une forte délégation iranienne, constituée d’une quarantaine de membres et dirigée par Ali Bagheri Kani, un conservateur plutôt dur, qui a consenti à se rendre à Vienne pour ce faire, explique notre correspondant à Téhéran, Siavosh Ghazi.
rfi