La Plateforme « Jammi Rewmi », qui regroupe plus de quarante sociétés civiles et plusieurs personnalités civiles, a tenu hier, un atelier sur les violences électorales au Sénégal. C’est pour s’inquiéter des violences électorales.
« Les élections peuvent être source de violences lorsque les enjeux politiques sont importants. Et lorsque les acteurs politiques ne sont pas en mesure de contrôler ces enjeux, nous pouvons avoir des dérives violentes durant les élections » explique le professeur Babacar Gaye, le président de la plateforme. A l’en croire, « à chaque fois que l’on organise des élections, on constate des dérives ». Et de poursuivre : « nous sommes dans un contexte particulier, marqué par des signaux assez inquiétants ».
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