Pour répondre de façon compétitive aux enjeux énergétiques d’aujourd’hui et préparer l’énergie de demain, le Sénégal s’appuie sur une dynamique continue d’innovation. Un projet phare dont s’y tient le président sénégalais Macky sall. Il est ambitieux pour le Sénégal. En conséquence, Macky Sall prépare le futur et veut devenir le major de l’énergie responsable.
Toutes les dispositions sont prises pour réussir ce pari. Car, les acteurs du secteur pétrolier et gazier affichent un grand engagement. Tous laissent entendre que « le projet pétrolier et gazier de macky Sall est ambitieux ». Il ne reste à actualiser la loi sur le contenu local qui sera également étendu au secteur minier y compris, la révision du fonctionnement de Petrosen et une certification accordée à l’Institut national du pétrole et du gaz afin de garantir une meilleure qualité des ressources. Il s’agit d’un institut de haut niveau, en contact permanent avec les compagnies pétrolières et les instituts pétroliers du monde dont l’IFP school (Ecole nationale supérieure du pétrole et des moteurs, établissements français. L’institut national du pétrole et du gaz a débuté ses activités en 2018 au Sénégal. Il faut rappeler que, c’est suite aux découvertes pétrolières et gazières, faites entre 2014 et 2016, et en prévision de la production qui débutera à partir de 2021 que l’Etat du Sénégal a mis en place, par un décret du 27 décembre 2017 l’institut national du pétrole et du gaz, ceci afin de développer l’expertise nationale et de favoriser l’emploi des sénégalais et des sénégalaises dans les secteurs pétroliers et gaziers. L’INPG a pour vocation unique d’avoir les compagnies pétrolières et gazières opérant au Sénégal comme partenaires clés. L’ambition de l’INPG est simple : créer une véritable source d’opportunités et d’inspiration pour les générations futures. L’on peut dire sans risque de se tromper que le secteur du pétrole et du gaz requiert des compétences hautement qualifiées ; mais aussi des qualités humaines comme la probité. De son côté, Assane Drabo, responsable qualité, hygiène, sécurité et environnement est d’avis que « la tradition anglo-saxonne est très exigeante en raison des objectifs réalisables ». A cela s’ajoutent, dit-il, la nécessité de disposer des certifications ISO 9001 des cabinets d’audit comme Bureau Veritas. L’autre critère requis est l’existence d’un capital humain de qualité formé dans les métiers sur l’Offshore.