La jeunesse, c’est par entendement cette tranche d’âge qui va de la majorité citoyenne à 45 ans. Donc, elle est censée être consciente de ses responsabilités et actes. Ce qui est, hélas, de moins en moins le cas.
Les faits l’illustrent chaque soleil qui se lève : récemment un jeune a été poignardé en banlieue, pour une banale affaire de fille convoitée. Ailleurs, c’est un élève qui a été liquidé au cours d’un match de foot entre potaches de même établissement scolaire. Les enseignants sont maintenant banalisés, brutalisés et même bannis par des potaches. Ecoles primaires, collèges, lycées et universités sont devenus des espaces de drogue, de délinquance et de deals. Pourtant c’étaient des lieux d’excellence. Ce sont des jeunes qui agressent et défilent en grand nombre devant la barre des cours et tribunaux. D’aucuns sont même condamnés pour avoir ôté la vie à un père, une sœur, un frère, un parent, etc. Le sinistre tableau est loin d’afficher tous les maux secrétés par la jeunesse. Ce qui obscurcit le ciel bien noir des lendemains de l’Humanité. Presque tous les continents sont concernés. D’où vient le mal ? Une question précieuse et actuelle. Pour sûr, l’origine de cette flambée de la déviance juvénile trouve son terreau, d’abord, dans les foyers : cellules de base de l’éducation. Ils sont de plus en plus démissionnaires. Ce qui indexe les autorités temporelles, comme coutumières et religieuses. Les jeunes sont devenus vulgaires. C’est une lapalissade. Une menace pour toute la société, qui ne pourra être endiguée que par l’effort de tous les adultes et personnages du 3ème âge. Les interventions pour arrêter la saignée sont la première urgence mondiale, puisqu’il y va de l’avenir de l’Humanité.